« L'un des gamins m'avait longuement
observée avant de s'approcher pour me demander, Tu l'aimes Baikal ? Je
ne trouvais pas le mot pour exprimer ma réelle émotion, j'avais dit bolchoï, grand »
Partir à la rencontre de l'autre, celui qu'on a aimé, pour finalement
au gré de rencontres, laisser papillonner ses pensées qui nous font
voyager dans deux mondes si différents et si proches. Dans un train,
dans une ville, au bord d'un lac, on fait un bout de chemin avec elle,
on vit sa quête de la vie, on avance sur le chemin de la sérénité.
Un petit chef-d'oeuvre...
A lire sans modération